Nous voilà rendus au bout du bout de l’ile nord en la cité de Wellington avec un passage obligé par le musée du Rugby à Palmerson North, capitale officielle (certains commentaires s’interrogeaient sur le nom de capitale, voici le mystère résolu :p).
Wellington dite la windy… Bon pour le coup on peut dire que l’on a eu de la chance, pas de Wind et plutôt beau temps (rare d’après les locaux). On pose notre campement (van deluxe) à la « base X » (nom de la backpacker) en mode on utilise toute les accommodations et on dort dans le van, grosse astuce (légale) qui permet d’économiser 35$ :p. Bref après avoir fortifié notre position et bien ravitaillé (par le meilleur indien de l’ile… ahhh ces Nans et chicken butter!) on se lance à l’exploration de la ville. Le musée, les quais, les jardins en cable car, les points de vues au sommet d’une forêt (j’me comprends) où des scènes de LOTR ont été tournées ( !!)…
Mais voilà comme je l’ai dit on est au bout du bout, du coup l’étape d’après c’est l’ile du sud. Et qui dit ile dit mer à traverser. Avec un van pas le choix, seul le ferry est possible !
La traversée s’annonçait paisible (la baie de Wellington est réputée pour bien abriter les navires de sa majesté) et l’annonce au micro grésillant parlait de « fîfeut teen m…ter »… Weird dans la baie on était à 4cm… bon…il doit causer de la longueur des camions en soute… Malheureusement les types connaissent leur métier et il causait hauteur des creux et on a dégusté, enfin Sabine surtout (Raoul 3 fois !!)… En même temps faire les kékés à l’avant pour voir les vagues se cracher (jusqu’au desk 8… balezes les waves !) sur l’avant du bateau ce n’était pas futé…
A mi-parcours changement de cap pour les fjords de Picton… le Salut !! Fini les vagues de fou furieux et bienvenus aux eaux calmes !
Une fois débarqués, heureux d’être encore en vie (fluctuat nec mergitur…), en route pour Kaikoura, qui fera l’objet d’un billet dédié, en passant par les vignobles alentour ! (pas de dégustation, j’ai fait vœux d’abstinence… en vrai pas hyper au point gastriquement pour absorber ce genre d’expérience).
La carte: